Dans le podcast L’Aléa ce lundi 27 mars, Linda Hardy est revenue sur ses années de galères après son départ de Section de recherches et la naissance de son fils Andréa en 2010.
Linda Hardy était ce lundi 27 mars l’invitée de L’Aléa, le podcast de Laura Pouliquen. Durant une heure, l’ex-Miss France est revenue sur sa vie après son départ de la série Section de recherches sur TF1 dans laquelle elle incarnait l’adjudant-chef Claire Linsky. “J’ai eu envie, à un moment donné, de partir, a-t-elle confié. “J’étais enceinte et j’ai profité du fait d’être enceinte pour dire : ‘Bah voilà, je vais quitter la série’.” Et d’ajouter : “Quand j’étais enceinte de mon fils, je n’avais qu’une envie c’était de profiter de ma grossesse. Au bout de deux mois, j’ai dit : ‘C’est bon, j’arrête tout et je veux vivre une grossesse épanouie à ne rien faire. Je vais m’occuper de moi et de mon bébé.’ C’est ce que j’ai fait et j’ai eu une grossesse extrêmement heureuse.”
“J’ai eu très peu de projets”
Si Linda Hardy dit avoir vécu une grossesse heureuse, professionnellement, les choses ont été moins joyeuses pour l’ancienne Miss France qui s’est retrouvée sans perspective de carrière. “Je n’ai pas re-bossé pendant trois, quatre ans, voire cinq ans, a-t-elle regretté. “J’ai eu très peu de projets. J’ai eu quelques trucs mais pas pour vivre. Et donc là ça remet beaucoup de choses en question parce que, quand je faisais des castings, j’étais toujours dans les deux dernières, je n’étais jamais prise… Ça m’a beaucoup questionnée par rapport à moi-même (…) C’était une période un peu difficile. C’est aussi ça qui m’a amenée à travailler sur moi parce que je me suis dit : ‘Peut-être qu’il me manque quelque chose que je ne donne pas à voir et qu’on aurait envie de voir de moi’.”
Une renaissance professionnelle grâce à l’entrepreneuriat
Pour se relancer, Linda Hardy a décidé de se lancer dans l’entrepreneuriat en créant sa marque de bonbons en janvier 2017. C’est alors le début d’une renaissance professionnelle : “A ce moment-là, je me suis dit : ‘Ok, c’est un métier que j’adore mais est-ce que je ne suis pas capable de faire autre chose ?’ Je me suis dit que c’était peut-être fini. J’ai eu mon temps, ça a duré dix ans. On a eu envie de moi pendant dix ans et maintenant on n’a plus envie de moi. Et si c’était ça, est-ce que c’est grave ? Est-ce que je ne sais faire que ça ? Est-ce que je suis capable d’apprendre autre chose ? Est-ce que je suis capable de m’épanouir dans un autre domaine ? Qu’est-ce qui me passionne à part ça ? Et c’est comme ça que je suis devenue entrepreneuse. Ça a été absolument incroyable parce que, finalement, j’ai créé cette gamme de confiserie saine, qui est totalement lié à mon fils (…) J’ai créé ma marque, j’étais toute seule au sein de ma boîte… Je gérais tout. J’ai tout appris sur le terrain…”, a-t-elle fait savoir.
